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Archive pour la catégorie ‘Artikel’

Elysee-Vertrag – 50. Geburstag des Vertrages

lundi 14 janvier 2013

Der Elysee-Vertrag zwischen Frankreich und der Bundesrepublik Deutschland am 22. Januar 1963 durch General de Gaulle und Bundeskanzler Adenauer unterzeichnet, ist die Grundlage einer engen Zusammenarbeit zwischen beiden Ländern. Die Vertragsunterzeichnung war ebenfalls der Grundstein für die Gründung einer Reihe von Institutionen, die auch heute noch einzigartig sind, wie: das Deutsch-französische Jugendwerk (DFJW), der deutsch-französische Kulturrat, der deutsch-französische Fernsehkanal ARTE oder die deutsch-französische Universität. Zur Feier des 50. Geburtstages des Elysee-Vertrages finden sowohl in Deutschland als auch in Frankreich und sogar in anderen Ländern zahlreiche Veranstaltungen statt (siehe auf der Seite zum Geburtstag des Vertrages: http://50ans.france-allemagne.fr/).Details und weitere Informationen zur Geschichte des Vertrages finden sich auf der Seite der französischen Botschaft in Berlin (http://www.ambafrance-de.org/-50-Jahre-Elysee-Vertrag-).

Wie in jedem Jahr findet der deutsch-französische Gedenktag am 22. Januar unter einem Motto statt. In diesem Jahr wurde ausgewählt:
« Franzosen und Deutsche: einmal Freunde, immer Freunde»
« Allemands et Français : partenaires un jour, partenaires toujours »

Das Motto wurde gemeinsam von Schülern des Wittekind-Gymnasium Lübeck und des Lycée Mézeray in Argentan entworfen.

 

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Mehr auf Deutsch :  http://www.ambafrance-de.org/-50-Jahre-Elysee-Vertrag-

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Logo 50 ans du traité de l’Elysée

Takt – un blog culturel

lundi 4 janvier 2010

Découvrez Takt : un blog qui parle de l’Allemagne créative, audacieuse, alternative, fêtarde et décontractée !

L’association TAKT organise des projets culturels et des échanges artistiques entre la France et l’Allemagne.

TAKT souhaite mieux faire connaitre la culture allemande en France, en organisant ou en relayant des événements.

www.takt.asso.fr

 

Traité de coopération franco-allemande / Elysée-Vertrag

mardi 22 janvier 2008

Chers amis,

Il y a 45 ans, jour pour jour, le général Charles de Gaulle et le chancelier allemand Kondrad Adenauer signèrent le Traité de Coopération franco-allemande à Paris. C’est une journée importante pour tous ceux qui, comme nous, croient en l’amitié franco-allemande.

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Liebe Freunde,

heute vor 45 Jahren unterzeichneten der General Charles de Gaulle und Dr. Konrad Adenauer den Elysée-Vertrag zur deutsch-französischen Kooperation. Das ist für uns, die wir das Deutsch-Französische pflegen, ein wichtiger Tag.
Für die Mitglieder der DFG Wolfenbüttel eine Vorabinformation: am 19.2. erleben wir einen Vortrag über Simone de Beauvoir und am 24.5. fahren wir nach Kassel zu « König Lustik?! Jérôme Bonaparte und der Modellstaat Königreich Westphalen ». (…) Bitte beide Termine vormerken.

— Cordialement.

Giselher Klose,

Président de l’association franco-allemande de Wolfenbüttel

info@dfg-wf.de
www.dfg-wf.de

_________________________Traduction : Claire Mouget-Goniot

Fêtes du jumelage (juin 2006)

vendredi 2 juin 2006

 

Echo du jumelage

par Ginette Harymbat
« Même s’ils sont arrivés sous un ciel gris et avec un peu de retard sur l’horaire prévu, c’est avec grand plaisir que nous avons accueilli mercredi soir nos 14 amis de la DFG (Deutsche Französische Gesellschaft) accompagnant la « Grande Délégation » de Wolfenbüttel pour les fêtes du jumelage.
Nous connaissions déjà la plupart d’entre eux puisque, alternativement, ces fêtes ont lieu tous les deux ans dans l’une ou l’autre ville. Ils ont été répartis dans les différentes familles d’accueil : chez des membres de l’AFAS ou auprès d’amis de notre association que nous remercions particulièrement, tels que M. et Mme BOMPAIRE, M. et Mme COQ, Madame TASSIN DE MONTAIGU. L’accueil dans les familles permet des échanges amicaux et enrichissants même quand la pratique de la langue du partenaire reste un peu hésitante et approximative.
Nous avons visité ensemble, le jeudi de l’Ascension, la prestigieuse exposition Cézanne / Pissaro au Musée

d’Orsay, visite prolongée pour certains par une balade dans Paris. Le soir même, nous nous retrouvions (41 personnes) chez M. et Mme BOULARD pour un repas partagé extrêmement convivial. La générosité et l’organisation de nos hôtes méritent félicitations et remerciements.
Vendredi 26, l’AFAS avait programmé une journée entière à Provins avec visite guidée de la vieille ville dans ses remparts, déjeuner « Au Petit Ecu » suivi de la visite de la Grange aux Dîmes et du spectacle de la « Légende des chevaliers ». Nous étions 25 : 14 Allemands et 11 Français. Après un programme aussi dense, il ne fallait pas flâner pour être de retour à temps pour assister au SEL, au buffet campagnard offert par la municipalité, suivi d’un concert de jazz donné avec brio par l’orchestre amateur des élèves du lycée de Wolfenbüttel.
Samedi, certains ont choisi de participer au déplacement prévu à Chantilly et Pierrefonds avec la grande délégation. D’autres ont préféré faire des emplettes au marché où nos amis proposaient des dégustations de charcuterie de Wolfentbüttel et de Jägermeister et où se produisait leur talentueux quatuor de jazz.
Chacun a occupé son après-midi à sa guise : promenade, invitation autour d’un café, derniers achats ou petite sieste en attendant l’heure de se mettre sur son 31 pour assister au dîner de gala offert au SEL par la municipalité. Ce fut une soirée mémorable : menu de classe, vins fins et Champagne, le tout dans une ambiance musicale. Au cours de la soirée, le maire de Sèvres et le Bürgermeister de Wolfenbüttel ont échangé propos cordiaux, cadeaux et remerciements. La soirée s’est poursuivie joyeusement, animée par un DJ, à la satisfaction générale.
C’est avec nostalgie dimanche matin que nous avons accompagné nos amis aux trois bus qui les ramenaient chez eux. Tous nous ont exprimé leur satisfaction et nous pensons déjà à notre prochaine rencontre en 2008 qui nous permettra de fêter 50 ans d’un jumelage réussi. »

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extrait du Bulletin Juillet-Août 2006

Claire Mouget-Goniot

[Les fêtes du jumelage] ont eu lieu comme vous le savez pendant le week-end de l’Ascension.

Vous trouverez ci-dessous un article officiel

article_jumelage_juin_2006

et quelques commentaires de nos amis de la DFG :

 » Ich war vor 40 Jahren in Paris! Es hat sich vieles verändert und ich habe diesmal viele angenehme Erlebnisse gehabt und nette Menschen kennengelernt. Ich freue mich schon auf den Austausch im Jahre 2008. Viele liebe Grüße von Monika Schwiebert

Es war schön zu hören, dass alle den Aufenthalt in Sèvres, das Zusammensein mit Ihnen/Euch und die vielen Gespräche in vollen Zügen, sehr intensiv, genossen haben. Vielen Dank für die Organisation, die viele Arbeit, das schöne Programm und die wundervollen, gemeinsamen Stunden. Liebe Grüße von Irene Muenzer-Becker. »

LINIE 1

mardi 18 avril 2006

Le groupe de théâtre allemand des SIS présente

LINIE 1

Comédie musicale / les 4 et 5 avril à 19h30 / Salle des Bords de Seine / (ancienne gare du Pont de Sèvres)

Prix des places: 5 Euros / Durée du spectacle: environ 75 min.

ne jeune provinciale, à la recherche de son petit ami berlinois, fait connaissance de ce monde souterrain très particulier qu’est le métro de Berlin.

Mise en scène: Christiane van Endert

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Die deutsche Theatergruppe der SIS Zeigt

LINIE 1

Musikalische Revue / Am 18. u. 19. April um 19.30 Uhr / Salle des Bords de Seine / (ancienne gare du Pont de Sèvres)

Eintritt : 5 Euros / Aufführungsdauer : ca. 75 Min.

Auf der Suche nach ihrem Freund taucht ein junges Mädchen vom Lande in die eigenartige Welt der berliner U-Bahn ein.

Leitung : Christiane van Endert

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LINIE 1 – Résumé de l’action

Il est 6h15 à la gare de Berlin. Des voyageurs débarquent. Parmi eux, une jeune provinciale, un peu perdue, mais le cœur rempli d’espoir. Un peu plus loin, trois jeunes SDF s’installent dans le hall pour faire la manche. Une femme d’affaires, noctambule désabusée, leur jette des billets de banque et donne sa carte de visite à la jeune fille.

La jeune fille demande son chemin pour aller au quartier berlinois de Kreuzberg, là où habite son « fiancé » Johnnie, mais elle se heurte à l’indifférence des passants. Finalement, un jeune homme à l’allure inquiétante – on dirait un détective des années 50 – la renseigne. Sait-il qu’elle s’est enfuie de chez elle?

Les usagers du métro, à cette heure-ci, sont des habitués blasés: tous les jours les mêmes visages, la même indifférence. Quels secrets se cachent derrière ces masques?

Enfin arrivée! Sur le quai, personne! Ah si, encore un de ces jeunes qui quémandent une petite pièce. Mais celui-là, c’est Bambi, et il est sympathique. Et puis elle a besoin de raconter son histoire à quelqu’un. Bambi prend les choses en main: il va lui retrouver son Johnnie, il en fait son affaire, pendant qu’elle l’attendra auprès de Trude qui tient un petit bar à la gare.

Donc, retour à la case départ en métro. Il est plus tard dans la matinée, et ce n’est plus le même public: on s’y dispute, on tempête contre les immigrés, on s’amuse à provoquer les bonnes gens.

Au bar de Trude, la jeune fille est accostée par un certain Mondo qui lui promet monts et merveilles, tandis qu’il lui verse un somnifère dans son café. Il n’est pas net, ce type! A la vue de Bambi, il prend la fuite. Engourdie par la drogue, la jeune fille s’affale sur son sac. Intervient Maria, une laissée pour compte du destin, qui se prend d’amitié pour la jeune fille. Et toujours et encore, ce jeune homme au look de détective! Mondo revient chercher sa victime. Il en est heureusement empêché par un groupe de touristes cosmopolite. La jeune fille a pu s’enfuir, mais elle a oublié son sac de voyage.

La jeune fille s’est réfugiée dans le premier métro venu où elle s’endort, revoyant en rêve tout ce qu’elle a vécu depuis son arrivée. Réveillée brusquement par deux dames des beaux quartiers qui s’indignent de sa mauvaise tenue, elle est d’abord témoin d’une prise de bec entre l’extrême droite et la gauche, puis des retrouvailles d’un ancien couple d’employés de banque, pendant que la vieille dame antifachiste assise à côté d’elle lui énumère les particularités de Berlin. Un jeune avec des écouteurs lui rappelle le jeune homme au look de détective. Qu’est-il devenu?… Mais où est donc passé son sac? Panique. Il lui faut retourner à la gare, au bar de Trude.

Sur le quai du métro, elle retrouve Maria qui se propose de l’accompagner. Tout à coup, le métro freine et s’immobilise: c’est un accident de personnes sur la voie. Et voilà la jeune fille qui s’inquiète pour le jeune homme au look de détective, si bien qu’elle se jette à son cou lorsqu’elle le découvre dans la foule. En fait, lui aussi est un paumé qui, derrière son déguisement de détective, cache une sensibilité d’artiste écrivain.

Après le choc de l’accident, chacun réagit à sa manière, en attendant que le métro se remette en marche. Bambi, lui, devient agressif, et la tension monte. Poussé par Maria, le jeune homme au look de détective sauve la situation en improvisant un petit speech sur la dureté de l’existence et la nécessité de rêver à une vie meilleure. Alors on chante et l’on fraternise. Avec la reprise de la circulation, Bambi se souvient d’une information importante : Johnnie sera à la gare dans une heure, et il y aura une petite fête à l’occasion des retrouvailles.

A la gare, la jeune fille rencontre Bisi qui, s’étant enfuie de chez elle, cherche maintenant un coin pour dormir. Les jeunes SDF sont là, eux aussi. Ils s’entraînent pour mettre un nouveau stratagème au point. Petit à petit, tout le monde se retrouve là. Et enfin, voilà Johnnie avec sa guitare… mais…

Schon 15 Früjahre

vendredi 1 avril 2005

Die Deutsch-Französische Gesellschaft in Sèvres

wurde im Frühjahr 1990 gegründet –

1990, ein Schlüsseljahr der deutschen Geschichte,

geprägt durch die Wiedervereinigung der beiden deutschen Staaten.

Genau am 21. März 1990 wurde die AFAS (l’Association Franco-Allemande de Sèvres), die Deutsch-Französische-Gesellschaft in Sèvres gegründet. Wenige Monate zuvor am 9. November 1989 war die Berliner Mauer im 29. Jahr ihres Bestehens gefallen und nur wenige Monate später, am 3. Oktober 1990, traten die kurz zuvor neu gegründeten Bundesländer der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) der Bundesrepublik Deutschland bei. Damit begann auch für die deutsch-französische Annäherung und Kooperation eine neue Ära.

Auf der Welle der « Wiedervereinigung »

In Sèvres mobilisiert zur selben Zeit Marie-Jacqueline Fioc, damals stellvertretende Bürgermeisterin und verantwortlich für schulische und kulturelle Angelegenheiten, einige Interessierte, darunter Madame Brenez, Lehrerin für Deutsch am örtlichen Lycée. Ihr Ziel: diejenigen Bürger von Sèvres zusammenzubringen, die sich für Deutschland und Länder deutscher Sprache interessieren. Denn in unserer Stadt Sèvres, zählten und zählen wir heute noch, zahlreiche Einwohner in unserer Mitte, die auf viele verschiedene Arten mit unserem Nachbarland verbunden sind: diejenigen, die bereits in Deutschland gelebt haben, Deutschlehrer und ihre Schüler der internationalen Unterrichtszweige, deutsche Staatsbürger und selbst Niederlassungen deutscher Firmen.

Darüber hinaus besteht schon seit 1958 eine Städtepartnerschaft zwischen Sèvres und Wolfenbüttel, einer kleinen Stadt in Niedersachsen, etwa 30 km von der ehemaligen innerdeutschen Grenze entfernt. Im Rahmen dieser Städteverbindung war der neugegründete Verein ein wichtiger und willkommener Partner, um zusammen mit seinem deutschen Gegenstück, der „Deutsch-Französischen-Gesellschaft“ in Wolfenbüttel, die freundschaftlichen Beziehungen auf- und auszubauen.

Die Gesellschaft hat sich in ihren Anfängen überwiegend mit dem Prozess der deutschen Wiedervereinigung befasst, bevor sie ihre Interessen und Aktivitäten auf Themen wie Kino, Literatur, wichtige Geburts- und Gedenktage, Brauchtum, Gebräuche und Gewohnheiten, organisierte Reisen nach Deutschland und Teilnahmen an Ausstellungen ausgeweitet hat.

Die AFAS heute

Heute, mit der Vorsitzenden Claire Mouget-Goniot, ist die Gesellschaft nach wie vor sehr aktiv in Sèvres: sie informiert über das deutsche kulturelle Leben in Frankreich, organisiert Besuche von (deutschen) Theaterstücken in Paris, Museumsbesuche und Reisen (siehe Kasten weiter unten). Die Motive, die 1990 zur Gründung der AFAS geführt haben, sind also nach wie vor hochaktuell.

Es ist klar, dass der Aufbau eines einigen Europas auf engen deutsch-französischen Beziehungen beruht, also auf einer guten Kenntnis des jeweils anderen, auf einem Verständnis für den Partner, jenseits aller Klischees und den schmerzhaften Erinnerungen des Zweiten Weltkrieges und der Naziherrschaft zum Trotz. Die Kenntnis der Sprache des jeweils anderen Landes bleibt dabei eine Grundvoraussetzung, da es völlig ausgeschlossen ist, dass eine dritte Sprache ein tiefes, ja herzliches Verständnis ermöglichen würde. ” erläutert Madame Fioc.

Anlage : Artikel in der Zeitung ‘Le Sévrien’, April 2005 : Déjà 15 Printemps

Un nouveau logo pour l’AFAS ~ Neues LOGO der AFAS

jeudi 1 juillet 2004

nouveau_logo

Créé par Ginette Harymbat, il mêle harmonieusement les couleurs bleues, rouges, jaunes et blanches des drapeaux français et allemands.

Il remplace l’ancien « Moi j’apprends l’allemand’ dans les bulletins et communiqués de l’associations.

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Neues Logo der A.F.A.S. – Entworfen von Ginette harymbat, vereint es in harmonischer Weise die Farben Blau, Rot, Gelb und Weiß der deutschen und der französischen Flagge.

Es ersetzt das alte « Ich lerne Deutsch » in den Rundschreiben und Tätigkeitsberichten der Gesellschaft.

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moijapprendlallemand

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