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Archive pour la catégorie ‘article’

LINIE 1

mardi 18 avril 2006

Le groupe de théâtre allemand des SIS présente

LINIE 1

Comédie musicale / les 4 et 5 avril à 19h30 / Salle des Bords de Seine / (ancienne gare du Pont de Sèvres)

Prix des places: 5 Euros / Durée du spectacle: environ 75 min.

ne jeune provinciale, à la recherche de son petit ami berlinois, fait connaissance de ce monde souterrain très particulier qu’est le métro de Berlin.

Mise en scène: Christiane van Endert

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Die deutsche Theatergruppe der SIS Zeigt

LINIE 1

Musikalische Revue / Am 18. u. 19. April um 19.30 Uhr / Salle des Bords de Seine / (ancienne gare du Pont de Sèvres)

Eintritt : 5 Euros / Aufführungsdauer : ca. 75 Min.

Auf der Suche nach ihrem Freund taucht ein junges Mädchen vom Lande in die eigenartige Welt der berliner U-Bahn ein.

Leitung : Christiane van Endert

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LINIE 1 – Résumé de l’action

Il est 6h15 à la gare de Berlin. Des voyageurs débarquent. Parmi eux, une jeune provinciale, un peu perdue, mais le cœur rempli d’espoir. Un peu plus loin, trois jeunes SDF s’installent dans le hall pour faire la manche. Une femme d’affaires, noctambule désabusée, leur jette des billets de banque et donne sa carte de visite à la jeune fille.

La jeune fille demande son chemin pour aller au quartier berlinois de Kreuzberg, là où habite son « fiancé » Johnnie, mais elle se heurte à l’indifférence des passants. Finalement, un jeune homme à l’allure inquiétante – on dirait un détective des années 50 – la renseigne. Sait-il qu’elle s’est enfuie de chez elle?

Les usagers du métro, à cette heure-ci, sont des habitués blasés: tous les jours les mêmes visages, la même indifférence. Quels secrets se cachent derrière ces masques?

Enfin arrivée! Sur le quai, personne! Ah si, encore un de ces jeunes qui quémandent une petite pièce. Mais celui-là, c’est Bambi, et il est sympathique. Et puis elle a besoin de raconter son histoire à quelqu’un. Bambi prend les choses en main: il va lui retrouver son Johnnie, il en fait son affaire, pendant qu’elle l’attendra auprès de Trude qui tient un petit bar à la gare.

Donc, retour à la case départ en métro. Il est plus tard dans la matinée, et ce n’est plus le même public: on s’y dispute, on tempête contre les immigrés, on s’amuse à provoquer les bonnes gens.

Au bar de Trude, la jeune fille est accostée par un certain Mondo qui lui promet monts et merveilles, tandis qu’il lui verse un somnifère dans son café. Il n’est pas net, ce type! A la vue de Bambi, il prend la fuite. Engourdie par la drogue, la jeune fille s’affale sur son sac. Intervient Maria, une laissée pour compte du destin, qui se prend d’amitié pour la jeune fille. Et toujours et encore, ce jeune homme au look de détective! Mondo revient chercher sa victime. Il en est heureusement empêché par un groupe de touristes cosmopolite. La jeune fille a pu s’enfuir, mais elle a oublié son sac de voyage.

La jeune fille s’est réfugiée dans le premier métro venu où elle s’endort, revoyant en rêve tout ce qu’elle a vécu depuis son arrivée. Réveillée brusquement par deux dames des beaux quartiers qui s’indignent de sa mauvaise tenue, elle est d’abord témoin d’une prise de bec entre l’extrême droite et la gauche, puis des retrouvailles d’un ancien couple d’employés de banque, pendant que la vieille dame antifachiste assise à côté d’elle lui énumère les particularités de Berlin. Un jeune avec des écouteurs lui rappelle le jeune homme au look de détective. Qu’est-il devenu?… Mais où est donc passé son sac? Panique. Il lui faut retourner à la gare, au bar de Trude.

Sur le quai du métro, elle retrouve Maria qui se propose de l’accompagner. Tout à coup, le métro freine et s’immobilise: c’est un accident de personnes sur la voie. Et voilà la jeune fille qui s’inquiète pour le jeune homme au look de détective, si bien qu’elle se jette à son cou lorsqu’elle le découvre dans la foule. En fait, lui aussi est un paumé qui, derrière son déguisement de détective, cache une sensibilité d’artiste écrivain.

Après le choc de l’accident, chacun réagit à sa manière, en attendant que le métro se remette en marche. Bambi, lui, devient agressif, et la tension monte. Poussé par Maria, le jeune homme au look de détective sauve la situation en improvisant un petit speech sur la dureté de l’existence et la nécessité de rêver à une vie meilleure. Alors on chante et l’on fraternise. Avec la reprise de la circulation, Bambi se souvient d’une information importante : Johnnie sera à la gare dans une heure, et il y aura une petite fête à l’occasion des retrouvailles.

A la gare, la jeune fille rencontre Bisi qui, s’étant enfuie de chez elle, cherche maintenant un coin pour dormir. Les jeunes SDF sont là, eux aussi. Ils s’entraînent pour mettre un nouveau stratagème au point. Petit à petit, tout le monde se retrouve là. Et enfin, voilà Johnnie avec sa guitare… mais…

Déjà quinze printemps

vendredi 1 avril 2005

L’association franco-allemande de Sèvres est née au printemps 1990, année charnière marquée par l’unification allemande.

C’est le 21 mars 1990 qu’a été créée l’AFAS, l’Association Franco-Allemande de Sèvres. Quelques mois auparavant, le 9 novembre 1989 le mur de Berlin tombait et quelques mois plus tard, le 3 octobre 1990, les länders de la République Démocratique Allemande intégraient la République Fédérale d’Allemagne. Le rapprochement franco-allemand entrait dans une nouvelle ère.

Sur la vague de l’unification

A Sèvres, Marie-Jacqueline Fioc, alors maire-adjoint chargé des affaires scolaires et culturelles, mobilise un certain nombre de personnes, dont madame Brenez, professeur d’allemand au lycée. Leur but : réunir les Sévriens s’intéressant à l’Allemagne et aux pays de langue allemande. Notre ville comptait alors -et compte toujours d’assez nombreuses personnes ayant des attaches avec ces pays : d’anciens résidants, des professeurs d’allemand et leurs élèves des sections internationales, des citoyens allemands et mêmes quelques succursales d’entreprises allemandes.

Par ailleurs, Sèvres était jumelée depuis 1958 avec Wolfenbüttel, ville de Basse Saxe, située à quelques 30 km de l’ancienne frontière de RDA. La toute récente association constituait un correspondant utile pour développer les relations amicales avec son homologue allemand : Deutsch-Französiche Gesellschaft.

L’association s’est beaucoup intéressée à ses débuts au processus d’unification, puis elle a élargi son champ d’intérêt au cinéma, à la littérature, aux grands anniversaires et aux coutumes, a organisé des voyages en Allemagne, des participations à des expositions…

L’AFAS aujourd’hui

Aujourd’hui présidée par Claire Mouget-Goniot, l’association propose de nombreuses activités sur Sèvres, informe sur la vie culturelle allemande en France et organise des sorties sur Paris autour de pièces de théâtre, des visites de musées et des voyages (voir encadré). Les raisons qui ont amené la création de l’AFAS en 1990 sont toujours d’actualité.

“Il est clair que la construction européenne reposera sur une relation franco-allemande étroite, donc sur une bonne connaissance mutuelle, sur une compréhension du partenaire au-delà des clichés et en dépit des souvenirs douloureux de la deuxième guerre mondiale et du régime nazi. La connaissance de la langue de chacun des deux pays demeure essentielle, car il est totalement exclu qu’une troisième langue puisse permettre une compréhension profonde et même chaleureuse” précise Madame Fioc.

En pièce jointe : l’article paru dans Le Sévrien, avril 2005 : Déjà 15 Printemps

Un nouveau logo pour l’AFAS ~ Neues LOGO der AFAS

jeudi 1 juillet 2004

nouveau_logo

Créé par Ginette Harymbat, il mêle harmonieusement les couleurs bleues, rouges, jaunes et blanches des drapeaux français et allemands.

Il remplace l’ancien « Moi j’apprends l’allemand’ dans les bulletins et communiqués de l’associations.

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Neues Logo der A.F.A.S. – Entworfen von Ginette harymbat, vereint es in harmonischer Weise die Farben Blau, Rot, Gelb und Weiß der deutschen und der französischen Flagge.

Es ersetzt das alte « Ich lerne Deutsch » in den Rundschreiben und Tätigkeitsberichten der Gesellschaft.

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moijapprendlallemand

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